Bonjour et bienvenue sur Eurosport.fr pour suivre en direct le Grand Prix de Las Vegas ! Le départ sera donné à 7h heure française.

"Je vais bien" dit Norris. Cela a tapé fort. Il n'a plus de roue arrière gauche. Il a perdu sa voiture dans le virage 11 avec une grosse glissade. Il a ralenti sa course sur le mur avant le choc rontal, tant mieux, car il allait vite.

C'est reparti ! Et déjà 2 secondes entre Verstappen et Leclerc ! Le premier virage est sous enquête. Le crash de Norris ! Voiture de sécurité.

Meilleure impulsion de Verstappen, mais il a vraiment beaucoup tassé Leclerc tout de même. Un divebomb classique du Néerlandais qui n'avait pas du tout pris son virage. Alonso s'est lui loupé tout seul avec un gros tête-à-queue. Il est rentré dans Bottas.

Voiture de sécurité virtuelle ! Il y a eu des contacts derrière. Sergio Pérez (Red Bull) rentre dans les stands. Alonso aussi : les deux changent leur aileron avant.

C'est parti ! Le sort en est jeté ! Et Verstappen passe au premier virage ! Manoeuvre osée du Néerlandais qui a poussé Leclerc hors de la piste ! Il y a eu des contacts derrière. Russell est toujours 3e, Gasly, 4e. Yuki Tsunoda a gagné 8 places !

Dur, medium et même hard pour les pilotes en fond de grille : on trouve de tout dans les stratégies pneumatiques. Il faut dire qu'il y a pas mal d'inconnus sur la durée de vie des pneus.

C'est parti pour le tour de chauffe !

Chez Ferrari, on explique au micro de Canal + craindre plus que tout le graining des pneus, prononcé à basse température. "Il faut être devant pour choisir sa course et réussir son départ" : Frédéric Vasseur croise les doigts !

Il devrait y avoir des dépassements aujourd'hui : avec Lewis Hamilton (Mercedes) 10e, Sergio Pérez (Red Bull) 11e et Carlos Sainz (Ferrari) 12e, des favoris sont derrière et devraient remonter.

Un des grands enjeux de la course sera de garder ses pneus à température. Il ne fait pas chaud dans le Nevada ! Il devrait y avoir moins de dégradation, mais attention à la sortie de piste. D'autant que la pluie n'est pas impossible.

Place on l'espère à la course. Entre la plaque d'égoût qui a torpillé les chances de Carlos Sainz (Ferrari) le forçant à prendre dix places sur la grille en changeant de batterie (12e au lieu de 2e), et les problèmes d'adhérence, les critiques sur la piste sont légion. Mais maintenant, les jeux sont faits !

Charles Leclerc (Ferrari) pour enfin convertir la pole, Max Verstappen (Red Bull) deuxième, Pierre Gasly (Alpine) 4e, et la lutte pour la deuxième place aux constructeurs : les questions du Grand Prix sont résumées ici.