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Libres 3 : Lewis Hamilton (Mercedes) au top, Brendon Hartley (Toro Rosso) dans le décor

Stéphane Vrignaud

Mis à jour 07/07/2018 à 13:31 GMT+2

GRAND PRIX DE GRANDE-BRETAGNE - Lewis Hamilton (Mercedes) a dominé de peu les essais libres 3 de la 10e manche du Mondial, samedi à Silverstone, en battant Kimi Räikkönen (Ferrari) de 0"093. Par ailleurs, la session a été marquée par le gros crash de Brendon Hartley (Toro Rosso).

Lewis Hamilton (Mercedes) au Grand Prix de Grande-Bretagne 2018

Crédit: Getty Images

La lutte s'annonce serrée pour l'obtention de 10e pole position de la saison, au Grand Prix de Grande-Bretagne. Samedi à Silverstone, Lewis Hamilton (Mercedes) a arraché le meilleur chrono des essais libres 3 en 1'26"722, pour 0"093 face à Kimi Räikkönen (Ferrari), très en verve.
Essais libres - Grand Prix de Grande-Bretagne 2018
Engagé dans un combat qui lui tient à cœur tous les ans, le quadruple champion du monde Britannique a eu le dernier mot face au Finlandais titré en 2007, désireux de se montrer après la perte - c'est devenu un secret de Polichinelle - de son volant l'an prochain.

Hartley accidenté, Gasly au chômage

Cependant, le match Hamilton - Räikkönen ne sera peut-être pas exactement l'affiche de la qualification, à partir de 14h00 locales, 15h00 en France. Si Valtteri Bottas (Mercedes), troisième à 0"642, était visiblement sur un programme complémentaire de son leader, Sebastian Vettel (Ferrari) n'a passé qu'un train de pneus "tendre", sans doute pour en préserver un en vue de la course. Son quatrième temps, à 1"129, le rend impossible à situer dans la bagarre.
Les Red Bull hors du coup - Daniel Ricciardo avait prévenu vendredi -, Charles Leclerc a une fois de plus fait voler sa Sauber, même si son sixième temps le relègue à 1"696.
Les Force India (11e et 12e) et Renault (14e et 15e) en retrait, les Toro Rosso ont pour une fois refermé le classement, avec 4 et 3 tours au compteur. Pour une raison simple : Brendon Hartley a violemment fini dans le décor suite à un bris de suspension au freinage du n°6, et sans explication tangible sur la raison de la défaillance, la Scuderia de Faenza a laissé Pierre Gasly au garage.
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