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Etape 1 : déclarations

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ParEurosport

Publié 22/10/2005 à 05:00 GMT+2

Quelques impressions recueillies au cours de l'étape 1 du Rallye de France, vendredi. Au programme : Loeb, Duval (Citroën), Bernardi, Nicolas (Peugeot)...

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Crédit: Eurosport

Sébastien Loeb (Citroën Xsara, leader) : "Quatre spéciales, quatre meilleurs temps. Je me suis senti immédiatement en confiance totale avec la voiture. J"ai attaqué fort d"entrée. J'ai dit que je voulais essayer de gagner ce rallye. Je ne pouvais donc rêver meilleur début. Cela dit, j'étais également en tête le premier soir en 2003, et je garde un souvenir très précis de la faute qui le lendemain m'a condamné. Je sais donc parfaitement que je dois rester concentré au maximum. Peut-être aurons-nous demain des choix de pneus plus délicats qu'aujourd'hui à effectuer, qui sait ?"
François Duval (Citroën Xsara, 2e) : "Je n'ai pas été 100 % dans le rythme au début. Mes réglages de suspension étaient trop 'durs' dans la première boucle (ES1 et ES2). Après les avoir assouplis, j'ai retrouvé une voiture très agréable. Tout en étant prudent dans les portions bosselées pour ne pas me faire surprendre comme au Monte Carlo, je fais partie des pilotes qui ont le plus amélioré leurs temps dans le second tour, sur une route pourtant salie par les passages successifs. Rester sur la route et dans la position que j'occupe ce soir est mon objectif. Je vais m'appliquer pour l'atteindre."
Petter Solberg (Subaru Impreza, 4e) : "J'ai attaqué très fort mais Michelin reste Michelin."
Alex Bengue (Skoda, 8e) : "J'ai été un peu prudent le matin mais je ne voulais faire aucune faute. Nous avons amélioré le set-up l'après-midi mais c'est très difficile de trouver un bon compromise entre la suspension souple nécessaire sur les bosses et les réglages durs pour les routes planes."
Nicolas Bernardi (Peugeot 307, 14e) : "Notre 17e position au départ nous a handicapé car nous avons trouvé une route dégradée et je n'avais pas un bon feeling. Notre voiture manquait de précision. Nous avons changé quelques réglages pour la deuxième boucle mais nous ne sommes pas allés dans le bon sens. Dans la dernière spéciale nous avons rencontré des problèmes de boîte de vitesses dès le départ. Pour demain nous essayons de trouver une solution plus efficace et nous revenons à la boîte de vitesses normale."
Jean-Pierre Nicolas (Peugeot Sport, directeur) : "Nos deux 307 WRC étaient équipées pour la première fois cette année de notre boîte de vitesses à double embrayage. Elle nous aurait permis de gagner 15 à 20 secondes sur l'ensemble du rallye. Malheureusement et malgré une longue période de fiabilisation, Marcus a bloqué sa boîte après l'arrivée de la quatrième et dernière épreuve de la journée et a dû abandonner. C'est un coup dur ! Nicolas Bernardi n'est pas à la place que nous étions en droit d'attendre de lui. Il a souffert d'une mauvaise position sur la route et du fait de l'enjeu qui l'a tétanisé toute la journée. Il vaut beaucoup mieux que sa position de ce soir."
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