Coupe de la Ligue - Le FC Metz arrache sa qualification à Nice (3-3, 2-3 aux tirs au but)
Mis à jour 29/10/2014 à 21:41 GMT+1
Le FC Metz s'est qualifié pour les huitièmes de finale de la Coupe de la Ligue en s'imposant à Nice. Les Lorrains, qui menaient 3-0 après un peu plus d'un quart d'heure de jeu, ont été rejoints au score et ne se sont finalement imposés qu'à l'issue de la séance de tirs au but (3-2).
En à peine trois jours, les Niçois ont livré deux matches complètement fous. Mais bien différents par leur scenario et leur issue. Après avoir signé une victoire sensationnelle à Guingamp dimanche (2-7), l’OGCN a bien cru réussir un nouvel exploit pour son entrée en lice en seizième de finale de la Coupe de la Ligue. Menés rapidement de trois buts par le FC Metz, les Aiglons sont revenus au score. Mais ont dû s’incliner aux tirs au but (3-3, 2 tab à 3).
Avec deux onze de départ largement remaniés par rapport à ce week-end, les deux équipes ont probablement manqué de repères dans les premières minutes. Ce qui a fait le jeu du FC Metz. En à peine 17 minutes, les Lorrains ont douché les quelques milliers de spectateurs venus assister à la rencontre à l’Allianz Riviera. Coup sur coup, Palomino (5e), Maiga (13e) et Vion (17e) se sont joués d’une défense azuréenne totalement apathique pour mener par trois buts d’avance.
Carlos Eduardo resté sur le banc
Aidé par une maladresse de Carrasso, Maupay a rapidement réduit l’écart (21e), redonnant espoir à son équipe. Dès lors, Nice s’est enfin libéré et a pris le jeu à son compte. A force de pousser, Bosetti a donné un peu plus de consistance au possible exploit d’un tir improbable dans un angle fermé quelques minutes avant la pause (2-3, 37e).
Au fil du match, le rythme a inéluctablement baissé. Carlos Eduardo, l’auteur de l’historique quintuplé dimanche au Roudourou, est resté sur le banc. Mais les Messins, fatigués, ont beaucoup reculé et ont finalement été sanctionnés d’un penalty pour une faute de main de Palomino. Cvitanich, tout juste entré en jeu, l’a transformé (3-3, 88e) avant que la partie ne s’enlise en prolongation et ne débouche sur une séance de tirs au but. Les échecs de Bodmer, Cvitanich puis Bosetti ont finalement mis fin à la folle semaine des Niçois.
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