"Je ne suis pas inquiet"

A.P. : On savait à l’avance que ce serait un déplacement difficile au Parc. Mais on ne s’attendait pas à un tel scénario. L’objectif était de résister le plus longtemps possible et de placer des contres. Ces deux buts venus très rapidement ont plombé le reste de la soirée. C’est différent du contexte de Lille (défaite 4-0, NDLR) où il n’y avait pas eu de réaction. Là, l’équipe a tenté de réagir. Malheureusement, on n’a pas été assez efficace dans la transmission du ballon pour se créer des occasions de but.

A.P. : Ce n’est pas mon problème mais celui de la direction.

A.P. : Mais moi je travaille avec les joueurs. Je cherche des solutions. C’est aux dirigeants qu’il fait poser ce genre de questions. Je ne suis pas inquiet, moi. Je n’ai pas peur de l’adversaire, de ce qui peut arriver. Simplement, match après match, avec les joueurs valides, j’essaie de composer la meilleure équipe possible.

A.P. : Chaque match a son histoire. Ce contexte-là était différent. Il faut continuer à travailler, bien sûr, résoudre ce problème défensif et analyser ce qui s’est passé. Il faut aussi tenir compte des erreurs individuelles. On verra ça à tête reposée.

A.P. : Non. Il ne s’agit d’avoir des intentions, il faut effectivement être bien en place défensivement. C’est la base, n’importe quelle équipe doit d’abord bien défendre avant de penser à attaquer. Et plus que jamais dans notre situation. C’est vrai qu’on n’a pas été rigoureux et suffisamment discipliné sur le plan défensif.

A.P. : Merci de nous le proposer, on n’y avait pas pensé…

A.P. : Vous le verrez dans les semaines à venir.

A.P. : Non. Parce qu’il y a d’autres matches à préparer, à commencer par la venue de Marseille samedi prochain. Je ferai le point avec les joueurs. On va se préparer pour essayer, dans ce grand défi à Geoffroy-Guichard, de faire enfin tourner la roue dans le bon sens.