Ranieri estime qu'il n'est pas fragilisé par la défaite de l'ASM face à Guingamp

"Il n'est pas possible qu'une seule défaite fragilise. Et mon président (NDLR: le milliardaire russe Dmitry Rybolovlev) est quelqu'un de très intelligent", a déclaré Ranieri, lors de la conférence de presse préalable au derby de dimanche contre Nice, sur le Rocher, dans le cadre de la 34e journée de la Ligue 1. En revanche, le technicien italien, rompu au monde du football professionnel, a reconnu les critiques sans forcément les comprendre. "C'est normal, les critiques, a-t-il souligné. Tout le monde a dit que nous sommes l'équipe devant lutter contre le Paris SG. Mais vous (les médias, ndlr) savez très bien si elles (les critiques, ndlr) sont justes ou injustes. Et je travaille." Moins affable qu'à son habitude, il n'a pas voulu expliquer si ces critiques le touchaient. "Je peux le dire à mes joueurs, à ma famille, pas à vous (les médias, ndlr)", a-t-il répondu à ce sujet.

D'autre part, Ranieri a également convenu que son avenir faisait plus parler que le jeu monégasque actuellement. "Il est normal d'entendre parler plus de mon avenir que du jeu, a-t-il lancé. C'est comme au Paris SG, qui a fait un grand championnat, une grande Ligue des champions. Et pourtant, on évoque l'avenir de (Laurent) Blanc. On se demande si ça va changer, c'est normal. C'est le milieu du football. Ce n'est pas un problème. Le problème, c'est le prochain match et se concentrer dessus". Dimanche, Monaco, 2e avec 69 points, accueille Nice, 13e avec 39 points, à 14h00 au Stade Louis-II.

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