Les plus populaires
Tous les sports
Voir tout

GP de Malaisie - Romain Grosjean (Lotus) : "Prendre son mal en patience"

Eurosport
ParEurosport

Mis à jour 23/03/2013 à 15:58 GMT+1

Romain Grosjean (Lotus) est revenu samedi sur le scénario de la qualification à Sepang, qui a échappé à son équipe.

2013 GP de Malaisie Lotus Grosjean

Crédit: Lotus F1 Team

Romain Grosjean (Lotus) avait l'espoir de redresser la barre après une journée de tâtonnement dans les réglages, en Malaisie. Malheureusement, il a été victime des aléas climatiques. Samedi, le Français est sorti dès la Q2. "Je sentais mieux la voiture aujourd'hui et, après une bonne séance libre ce matin, nous étions en bonne posture pour cet après-midi. On avait un plan avant les qualifications, on s'est raté sur la stratégie mais le radar est tombé en panne entre la Q1 et la Q2, donc on ne savait pas si les nuages arrivaient ou pas, et on est resté sur notre plan de garder les pneus de la Q1 au début de la Q2", a expliqué le Tricolore, finalement 11e temps.
"Quand on a mis les pneus neufs, le rideau de pluie est arrivé, donc 'rideau'", a-t-il repris. "Quand je me suis présenté au virage 7, j'ai tout de suite compris que je n'allais pas y arriver. On a sauvé trois trains de pneus durs neufs pour la course, c'est le point positif, mais tout le monde sera un peu au même point." Seule consolation, il sera sur la partie propre de la piste. Et encore, la pluie a "lavé" le bitume et atténué le grip.
"Pas le dimanche le plus facile de l'année"
"La course va être longue, et on a normalement un avantage sur les autres, il faudra en tirer la quintessence", a-t-il poursuivi, à propos d'une course qu'il espère sur le sec. "Ce matin, aux derniers essais libres, certains avaient des pneus en lambeaux. Ça ne va pas être le dimanche le plus facile de l'année, il fait chaud, humide, et quand il pleut, ce n'est pas à moitié, mais ça peut être sur deux virages seulement, ça rend les choses intéressantes. Les quatre premiers grands prix de la saison sont des grands prix à opportunités, à cause aussi de ces pneus qui se dégradent énormément, donc il faut aller au bout, sans se faire piéger en début de course. Tout est possible, il faut prendre son mal en patience, attaquer à d'autres moments, et espérer qu'on aura choisi la bonne stratégie".
"Nous avons vécu des qualifications décevantes", a reconnu James Allison, le directeur technique. "Un peu comme à Melbourne, nous n'avons pas placé nos voitures là où leur performance sur le sec le mérite. Comme la dernière fois, la pluie a perturbé les qualifications et nous ne sommes pas aussi efficaces sous la pluie que par temps sec."
Rejoignez Plus de 3M d'utilisateurs sur l'app
Restez connecté aux dernières infos, résultats et suivez le sport en direct
Télécharger
Partager cet article
Publicité
Publicité