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Sebastian Vettel (Ferrari) : "Je suis confiant car nos départs sont bons"

Stéphane Vrignaud

Mis à jour 29/10/2017 à 01:57 GMT+2

GRAND PRIX DU MEXIQUE - Sebastian Vettel (Ferrari) a toutes les raisons de se sentir capable de transformer sa pole position en victoire, dimanche.

Sebastian Vettel (Ferrari), Max Verstappen (Red Bull) et Lewis Hamilton (Mercedes) au Grand Prix du Mexique 2017

Crédit: Getty Images

Aussi incroyable que cela peut paraître, Sebastian Vettel n'est que le deuxième pilote Ferrari sur la liste des auteurs d'une pole position à Mexico. Au prix d'un superbe tour de 1'16"488 sur l'Autodromo Hermanos Rodriguez, samedi, il a succédé à Clay Regazzoni, 47 ans après.
Surtout, il est allé conquérir cette 50e pole position qui s'était refusée à lui la semaine dernière à Austin pour 0"239. Pourtant, ce n'était pas gagné. "Avant la séance, je n'ai pas pensé au fait que je pourrais obtenir ma 50e pole position, donc, j'ai été surpris de l'entendre", a-t-il confié. "C'est un nombre impressionnant, qui reflète une grande réussite. Je suis très heureux de ma performance."
"Les qualifications ont été dures pour nous cette saison. C'est donc très gratifiant quand le résultat est au rendez-vous, surtout quand c'est avec mon tout dernier tour que je décroche la pole. Je savais que ça se jouerait à un rien." 0"086 sur Max Verstappen (Red Bull) en l'occurrence.

27 ans après Alain Prost ?

"Avec l'altitude, la surface de la piste vieillit différemment, donc, c'est très glissant pour nous tous, et très facile de commettre une erreur", a-t-il souligné. "Les limites ne sont pas simples à trouver. Je me suis dit que si je passais bien le virage n°1, j'aurais une meilleure chance. Le dernier secteur était tout aussi piégeur car on peut facilement virer large et perdre pas mal de temps, mais je suis parvenu à attaquer et rester propre. Vendredi, ça n'allait pas très bien pour nous mais nous avons beaucoup amélioré la situation dans la nuit. Nous avons effectué des changements qui ont fonctionné"
Désormais, il peut viser la succession d'Alain Prost, dernier vainqueur en rouge à Mexico au terme d'une course d'anthologie attaquée de la 13e place en 1990. "Nous méritons un bon résultat, mais le championnat n'est plus en notre contrôle", a-t-il avancé, en référence à son retard de 66 points au championnat sur Lewis Hamilton (Mercedes).
"On va bien voir ce qui se passe au départ", a-t-il dit. "Je sais que le chemin est long vers le virage n°1 mais dans l'ensemble, je suis confiant car nos départs sont bons."
Sebastian Vettel (Ferrari) au Grand Prix du Mexique 2017
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