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Loeb "à armes égales"

ParCitroën Racing

Mis à jour 07/03/2012 à 12:04 GMT+1

Sébastien Loeb est content d'attaquer la saison "terre" au Mexique, ce week-end. D'autant que la corvée de balayage, c'est fini.

Eurosport

Crédit: Eurosport

Premier au Monte-Carlo, sixième en Suède : comment jugez-vous votre début de saison ?

Sébastien Loeb : Commencer par une victoire au Monte-Carlo, c’est forcément positif. Sixième en Suède, ça me laisse en revanche un petit goût d’inachevé. Je sais que je peux faire mieux sur ce terrain, mais je n’y arrive pas forcément ! Au bout du compte, je suis en tête du championnat du monde devant Mikko [Hirvonen] et Citroën mène chez les Constructeurs : c’est donc positif. Je dirais que le début de la saison 2012 a été assez classique. Si la suite est à l’image des huit dernières années, je suis partant !
Vous êtes invaincu au Mexique depuis 2006. Avez-vous une recette particulière ? Quelle est l’influence de l’altitude sur la performance des voitures et votre pilotage ?
S.L. : Il n’y a pas de recette, c’est juste le résultat de beaucoup de travail avec toute l’équipe. Je me suis toujours senti à l’aise sur les spéciales mexicaines, même si j’ai souvent dû composer avec le balayage. Heureusement, ce paramètre n’interviendra pas cette année grâce à la spéciale qualificative et je pourrai me battre à armes égales dès le premier jour. L’altitude joue effectivement un rôle important, car la raréfaction de l’oxygène fait chuter la puissance des moteurs. Ça ne change pas fondamentalement ma façon de piloter, la sortie des courbes est un peu plus facile à gérer car on dose moins l’accélérateur. A l’inverse, il faut veiller à ne pas rentrer trop vite dans les virages.
Deux spéciales de 42 kilomètres le samedi, une autre de 54 kilomètres le dimanche. La gestion des pneumatiques sera-t-elle particulièrement délicate sur ces secteurs ?
S.L. : Je ne pense pas, car les Michelin sont suffisamment résistants sur un terrain finalement peu abrasif. L’étape du dimanche sera peut être un peu plus complexe à gérer d’un point de vue stratégique, puisque nous disputerons les quatre spéciales du jour sans assistance. En fonction des positions et des écarts, nous devrons résoudre une équation à plusieurs inconnues. Faudra-t-il embarquer une ou deux roues de secours, privilégier la lutte pour le classement général ou la Power Stage ? Ce sera intéressant jusqu’au bout !
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