Etape 8 : déclarations

Voici les principales réactions enregistrées vendredi à l'arrivée de la huitième et dernière étape de Paris-Nice. Les déclarations du vainqueur du jour, le Kazakh Alexandre Vinokourov (T-Mobile) mais aussi celles du vainqueur du classement général, l'Alle

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Alexandre Vinokourov (KZK-T-Mobile), vainqueur de l'étape: "La course avait mal commencé pour moi, je me suis vite tourné vers les étapes. Le succès le plus difficile, c'est celui de jeudi dernier. Je n'étais pas encore au mieux. Gagner à Nice, près de chez moi, me fait très plaisir. Avec trois victoires d'étape dans une grande course comme celle-ci, je peux dire que la forme est présente. C'est bon pour Milan-Sanremo (samedi prochain). Tout va dépendre du déroulement de la course. Ou bien faire le sprint pour Erik Zabel, ou bien suivre Bettini et les meilleurs dans le Poggio."
Jorg Jaksche (ALL/CSC), vainqueur final: "Je n'étais pas venu dans Paris-Nice avec le rang de leader. D'autres que moi, Voigt et Basso, étaient en mesure de gagner. Le jour le plus difficile ? c'est dans l'étape de samedi (Cannes). La dernière étape aussi n'était pas facile. C'est une course importante, j'ai l'impression d'avoir franchi une nouvelle marche. Par rapport aux autres années, j'ai beaucoup travaillé et surtout de façon différente, davantage en intensité et en spécifique. Mes prochains rendez-vous ? j'aurai le Critérium international (27 et 28 mars) puis les classiques ardennaises, l'Amstel, la Flèche et Liège. "
Davide Rebellin (ITA/Gerolsteiner), 2e du classement final: "J'étais venu pour essayer de remporter une étape. Mais j'ai eu affaire à une équipe vraiment très forte. En étant deuxième, je n'avais aucune marge de liberté. Je suis satisfait de ma place. J'ai bien essayé de sortir dans la dernière étape, il n'y avait rien à faire. Jaksche avait encore trois équipiers avec lui."
Frank Vandenbroucke (BEL/Fassa Bortolo), 6e du classement final: "J'ai bien travaillé cet hiver. Paris-Nice est ma première vraie course de la saison. J'ai montré de bonnes choses, je suis en progression après une semaine aussi dure. L'objectif, ce sont les classiques de la Coupe du monde. Je ne suis pas encore à cent pour cent. Sur les courses d'un jour, cela peut passer."
Bjarne Riis (directeur sportif CSC): "Dans le Tour, Jaksche aura pour rôle d'aider l'équipe dans le contre-la-montre par équipes et dans la montagne, à côté de Basso et de Sastre. On verra ce que cela peut donner. Leader ? pourquoi pas s'il peut progresser encore. Paris-Nice est une course d'une semaine, le Tour de trois semaines."
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