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Le trio Benzema-Rodrygo-Vinicius "ressemble beaucoup" à la BBC d'après Carlo Ancelotti

Simon Farvacque

Mis à jour 30/04/2023 à 09:34 GMT+2

Une comparaison élogieuse. Samedi, Carlo Ancelotti a considéré que l'actuel trio offensif du Real Madrid, composé de Karim Benzema, Rodrygo et Vinicius, avait "réalisme" et "qualité" en commun avec la glorieuse BBC (Benzema, Gareth Bale, Cristiano Ronaldo). L'entraîneur madrilène a effectué ce parallèle au soir d'une victoire 4-2 face à Almeria, à domicile, dans le cadre de la 32e journée de Liga.

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BBC. Trois lettres qui désignent un trio qui a marqué l'histoire, pourtant richissime, du Real Madrid. Le B de Karim Benzema, celui de Gareth Bale, et le C de Cristiano Ronaldo. Cinq ans après la dissolution de son attaque trois étoiles, le club madrilène a toujours fière allure dans ce secteur de jeu. Benzema est encore là, entouré de deux compères qui savent le faire briller.
Samedi à domicile face à Almeria, lors de la 32e journée de Liga, l'international français a ainsi pu compter sur deux caviars : un de Vinicius pour ouvrir le score, un de Rodrygo pour doubler la mise. Auteur d'un triplé, "KB9" est la pointe d'un triangle fabuleux, aux yeux de son coach, Carlo Ancelotti : "C'est très difficile de trouver des différences entre le trio de 2014 et celui-ci."

Benzema, paradoxal point commun

L'entraîneur italien sait de quoi il parle. Il était sur le banc du Real en 2013-14, C1 remportée à la clef, dès l'arrivée de Bale aux côtés de Benzema et Ronaldo. Selon Il Mister, les deux attelages "se ressemblent beaucoup", "dans le réalisme, dans la qualité." Il insiste sur leur "efficacité" commune, au soir d'un succès 4-2, parachevé d'une frappe de 20 mètres par Rodrygo.
Reste qu'il est difficile de trouver une correspondance entre les deux trios, membre par membre. Rien que Benzema, trait d'union qui a changé de rôle et de statut, ne serait probablement pas la nouvelle version de lui-même. Sans entrer dans le détail, le technicien de 63 ans évoque "des caractéristiques différentes, des joueurs différents." Il n'est pas question de transposition.
Ce que retiennent sans doute les supporters "merengue", c'est que l'issue a tendance à être la même, en Ligue des champions : cinq sacres lors des neuf dernières éditions. Pour que cela soit encore le cas cette année, il faudra passer l'obstacle Manchester City en demie (9 et 17 mai). Et le trio du présent sera précieux dans cette optique, au-delà des comparaisons et des surnoms.
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