"On est en reconstruction"

Z.M. : On s'est préparé pour. On a fait de bons stages et de bons matches amicaux. C'est maintenant le terrain qui répondra à cette question. Mais on sait qu'on a mis toutes les chances de notre côté. Aujourd'hui, on a hâte de rentrer dans la compétition. C'est vraiment samedi que ça va commencer.

Z.M. : Non, ce n'est pas un problème. Mieux vaut les perdre peut-être un match plutôt que les forcer à jouer et les perdre pour un mois ou deux. C'est un groupe assez étoffé. Il peut y avoir des surprises avec des joueurs que l'on n'attend pas forcément et qui se révèlent.

Z.M. : Oui. Il a fait une bonne préparation, il a brillé. Cela prouve que tout le monde a sa chance à saisir. Que ce soit lui, Sammy Traoré ou Youssouf Mulumbu, ce sont des joueurs à qui il faut tirer un grand coup de chapeau. Ils reviennent de prêts mais ils bossent et sont vraiment bien dans l'esprit.

Z.M. : C'est aux dirigeants qu'il faut poser la question. Je vois qu'ils cherchent encore une pointe et un défenseur. Dans le secteur défensif, je ne pense pas que ce soit la panique ou l'urgence. On semble bien fournis avec Sammy Traoré, Mamadou Sakho, moi-même ou Larry Mabiala.

Z.M. : On se fixe tous des objectifs entre nous. Maintenant avec le Paris Saint-Germain, il faut rester très prudent et attendre une dizaine de matches pour voir notre potentiel. Avec ce qu'il a vécu par le passé, le groupe reste assez prudent et ne s'enflamme pas.

Z.M. : Pourquoi revendiquer quoi que ce soit quand on voit nos dernières saisons? Il ne faut pas oublier qu'on a frôlé la relégation par deux fois. On est en reconstruction. On va essayer de faire une très bonne saison, on est tous revanchards mais on n'a pas d'objectif déterminé.

Z.M. : Au vu de leur expérience sur et en dehors du terrain, oui. Ils apportent de la fraîcheur, du renouveau et plus d'impact dans le jeu. Claude s'investit déjà beaucoup. Quand il ressent les choses, il n'hésite pas à appeler un joueur pour lui parler en tête à tête. Pareil pour Ludo qui, en plus, met beaucoup de joie de vivre dans le vestiaire. C'est très important pour un groupe.

Z.M. : Un peu, oui. Au vu de sa carrière, il inspire le respect. Cela aurait été un honneur de jouer avec lui. Cela n'a malheureusement pas pu se faire. C'est dommage mais c'est le football et c'est aussi un peu la vie. Vu les circonstances, c'est tout de même une bonne nouvelle qu'il n'ait rien pour sa santé.

Z.M. : Un peu oui car j'avais été sollicité par un bon club en Espagne et que j'attendais de voir ce que les dirigeants allaient faire. Mais je n'ai pas hésité longtemps car j'avais envie de rester. Je ne me suis pas battu pour venir ici pour partir au bout d'un an. Il y a de belles choses à faire ici.