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Printant, Puel, Antonetti... le top des déclas de la 22e journée

Eurosport
ParEurosport

Publié 24/01/2016 à 00:16 GMT+1

LIGUE 1 - La colère des Bastiais, la prudence de Claude Puel et le signal d'alarme tiré par Frédéric Antonetti sont au programme du top des déclas de la 22e journée.

Ghislain Printant, l'entraîneur de Bastia

Crédit: Panoramic

Bastia en a gros sur la patate

Les Corses peuvent l'avoir mauvaise. Alors qu'ils allaient ramener un point précieux de Guingamp, ils ont été victimes d'une erreur d'arbitrage. Mikaël Lesage s'est laissé flouer par un plongeon dans leur 16 mètres de Jimmy Briand. La pilule ne passe pas pour Ghislain Printant :
Je vais faire attention en m'asseyant de ne pas avoir trop mal aux fesses.
Jean-Louis Leca, le gardien du Sporting, est à peine plus mesuré :
On savait qu'on allait se faire enfler.

Carrasso, la blessure de trop pour Sagnol

Mené de deux buts, Bordeaux est allé chercher un point sur la pelouse de Nantes en fin de match (1-1). Mais les Girondins ont aussi perdu sur blessure (probablement pour plusieurs mois) leur gardien Cédric Carrasso. Ça commence à faire beaucoup pour Willy Sagnol.
On va peut-être investir dans des docteurs et des kinés plutôt que dans des joueurs.
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Carrasso, blessé avec Bordeaux

Crédit: Eurosport

Deuxième, un détail pour Puel

Nice s'est installé pour la première fois de la saison sur le podium de la Ligue 1 après son succès contre Lorient (2-1). Les Aiglons sont deuxièmes en attendant la rencontre de Monaco, contre Toulouse ce dimanche. Mais Claude Puel ne s'en formalise pas et préfère regarder le bilan de son équipe, qui totalise 10 victoires, 6 nuls et 6 défaites.
Comme vous le savez déjà, je ne prête guère attention à notre classement. Il est très anecdotique en cette période de la saison. L'important est de se battre pour prendre des points.

Lille lutte pour ne pas descendre, rien de plus

Les Lillois ont commencé le mois de décembre par trois victoires, pour remonter jusqu'à la 11e place. Mais cette embellie est désormais bien lointaine pour les hommes de Frédéric Antonetti. Après leur deuxième défaite consécutive, contre la lanterne rouge troyenne à domicile (1-3), les Dogues n'ont plus que trois points d'avance sur le premier relégable. Et leur coach ne regarde que derrière.
Le LOSC joue le maintien et cette défaite, même si je la regrette, a le mérite d'éclaircir les choses. On espère s'en sortir très vite, mais je suis venu pour jouer pour le maintien, je l'ai tout de suite mesuré.

Troyes, la délivrance

La première victoire de Troyes dans ce championnat est arrivée après 22 journées. Cela commençait à devenir long pour les troupes de Claude Robin, heureux de venir partager ses impressions avec les journalistes.
Très sincèrement ça commençait à devenir dur les conférences de presse ! Ce soir je suis très content de vous rencontrer. C'est plus qu'une victoire, c'est un soulagement. C'est ce que j'ai vu sur les visages des joueurs. Ça devenait dur pour eux.

Ripoll admire Nice

Il a été battu par Nice. Il pensait mériter mieux. Mais Sylvain Ripoll est beau joueur. L'entraîneur lorientais n'a pas manqué de louer les qualités du nouveau dauphin (provisoire) du PSG.
J'ai toujours dit que j'admirais son jeu. Nice fait un beau deuxième de L1. Mais un nul n'aurait pas été illégitime.

Caen (enfin) à réaction

Le SMC est sorti d'un mauvais pas à Montpellier (1-2) pour mettre fin à sa série de trois défaites en championnat. Patrice Garande a mis en avant les ressources mentales de ses joueurs, enfin récompensées.
On a renversé la fatalité qui faisait croire que quand on était mené on ne gagnait pas les matches. On était dans le match d'entrée de jeu au point que le but de Montpellier ne nous a pas coupé les jambes.
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Patrice Garande - entraîneur de Caen

Crédit: Panoramic

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