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Ligue 1 : Neymar, PSG, El Bilal Touré, Gelson, Monaco, Toulouse... les tops et les flops de samedi

Eurosport
ParEurosport

Mis à jour 01/02/2020 à 23:20 GMT+1

LIGUE 1 - Un magicien nommé Neymar, un jeune Rémois sans complexe, un sérieux problème d'attitude à Monaco… voici les tops et les flops des matches comptant pour la 22e journée disputés samedi.

Neymar, El Bilal Touré, Gelson Martins... Les tops et les flops de samedi (22e journée)

Crédit: Eurosport

Les Tops

  • Neymar, le festival permanent
Neymar a pris des coups, comme toujours. Tellement que voir Thomas Tuchel le sortir lui plutôt que Kylian Mbappé afin de le préserver quand le score était acquis n'aurait pas semblé illogique. Mais cela aurait été vraiment dommage. Pas vraiment pour sa teinture rose. Surtout parce que Neymar a régalé, encore et toujours. Ses dribbles et ses gestes venus d'ailleurs ont littéralement écoeuré les Montpelliérains et enchanté le public du Parc. Mais le Brésilien ne s'est pas contenté de faire le spectacle. Il a surtout joué pour les autres, au-delà de sa passe lumineuse sur le but de Mbappé. Il est bien de retour au top de sa forme. Quand il joue comme ça, on ne peut qu'en demander davantage.
  • Mama Baldé, le tube de l'hiver
Au classement, Dijon respire. Et son poumon s'appelle Mama Baldé. Buteur à deux reprises en une vingtaine de minutes, l'attaquant de 24 ans a démontré qu'il était bien le nouveau facteur X du DFCO. Avec quatre buts et une passe décisive, il est impliqué sur cinq des sept dernières réalisations de son équipe. Avec ça, le club bourguignon a pris cinq unités d'avance sur le barragiste.
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Mama Baldé et les Dijonnais ont brillé face à Brest

Crédit: Getty Images

  • Toulouse évite un triste record
Toulouse n'a pas voulu d'un record qui n'était pas fait pour être battu. A Amiens, le Téfécé a mis fin à sa série de défaites en Ligue 1. Il a bien fait de stopper l'hémorragie ce samedi. Dans le cas contraire, les Violets auraient égalé une triste marque, celle du CA Paris qui, en 1933-1934, avait été battu douze fois de suite. Certes, les hommes de Denis Zanko n'ont pas gagné (0-0) et sont toujours englués en queue de peloton, à six points de son adversaire du soir, barragiste. Mais au moins, l'humiliation a été évitée.
  • El Bilal Touré, même pas impressionné !
Il s'appelle El Bilal Touré. Il y a un mois, personne ne connaissait son nom. Sauf Reims. Habitué à dénicher de jeunes talents, le club champenois l'a attiré, lors du dernier mercato, après avoir suivi son épopée victorieuse avec le Mali lors de la dernière Coupe d'Afrique des Nations des moins de 20 ans. Initialement promis à la réserve pour s'acclimater, l'attaquant a finalement été si impressionnant à l'entraînement qu'il a été aligné pour la première fois par David Guion, à Angers. D'une demi-volée, le jeune homme a provoqué un penalty. Et l'a transformé, malgré une longue période de flottement, durant laquelle il s'est occupé en jonglant. Comme si tout ce qu'il vivait était normal.

Les flops

  • Le cauchemar de Bertaud
Il ne faisait pas bon être gardien de Montpellier cette semaine. Geronimo Rulli expulsé lors de l'élimination montpelliéraine à Belfort en Coupe de France, Dimitry Bertaud a été propulsé dans le but héraultais pour un déplacement périlleux à Paris. Il a viré au cauchemar pour le portier du MHSC. Impuissant sur l'ouverture du score parisienne par Pablo Sarabia, il a précipité le naufrage des siens avec une sortie mal sentie devant Kylian Mbappé. Coupable d'une main hors de sa surface, il a logiquement été expulsé, laissant ses coéquipiers à dix après seulement un gros quart d'heure de jeu. Et Montpellier ne s'en est jamais remis.
  • La passoire angevine
Stéphane Moulin n'aura pas besoin de chercher bien loin le principal axe de travail pour son équipe lors des prochains entraînements. La rigueur défensive s'impose après une semaine qui a vu Angers concéder pas moins de neuf buts : cinq lors de l'élimination en 8e de finale de la Coupe de France à Rennes (5-4) et encore quatre samedi face à Reims (1-4), pourtant pas réputé pour sa force de frappe offensive. Mais les Angevins ont commis bien trop d'erreurs, individuelles et collectives, pour ne pas se faire transpercer par les attaques champenoises. Des lacunes inhabituelles pour le SCO. Mais il doit les corriger de toute urgence.
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Angers et Butelle ont sombré face à Reims

Crédit: Getty Images

  • Avec Leo ou Moreno, Monaco souffre toujours des mêmes maux
Depuis le début de saison, Monaco a ouvert le score à douze reprises. Au final, il n'a remporté que sept de ces douze rencontres. L'ASM a un sérieux problème d'attitude et, contrairement à ce que l'on aurait pu croire, tout n'était pas lié à Leonardo Jardim. A Nîmes, le club de la Principauté s'est encore sabordé. Et cette fois-ci, il l'a fait dans des proportions encore plus inquiétantes. Après avoir subi l'égalisation, les Monégasques se sont complètement emportés contre l'arbitre de la rencontre qui venait d'expulser Tiémoué Bakayoko. Inutilement, les Monégasques ont protesté et Gelson Martins, lui, a carrément fragilisé la suite de sa saison en s'en prenant physiquement à M. Lesage. Conséquence ? Monaco doit, de nouveau, regarder derrière.
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