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Ligue 1 - OL - OM : Dimitri Payet joue la carte de l'apaisement, Peter Bosz est toujours "en colère"

Guillaume Maillard Pacini

Mis à jour 01/02/2022 à 03:21 GMT+1

LIGUE 1 - A la veille du match face à l'Olympique Lyonnais, Dimitri Payet est revenu sur le jet de bouteille dont il a fait l'objet l'objet le 21 novembre dernier, ce qui avait conduit à l'interruption de la rencontre. Pour le capitaine de l'OM, elle a permis à un "début de quelque chose" concernant les violences dans les stades. L'entraîneur de l'OL Peter Bosz, lui, est toujours en colère...

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Comme un symbole, Dimitri Payet s'est présenté en conférence de presse à la veille du "remake" du match entre l'OL et l'OM, interrompu le 21 novembre dernier en raison d'un jet de bouteille sur le capitaine marseillais. "Il y a eu des décisions de prises et c'est le début de quelque chose j'espère, s'est-il félicité ce lundi. C'est vrai que depuis Lyon, il n'y a pas eu d'incident grave dans nos stades. J'espère que c'était la dernière fois. Je suis le premier déçu de jouer dans un stade vide demain, même si c'est à Lyon. Les instances ont pris des décisions et j'espère qu'ils en prendront d'autres qui arrêteront la violence dans les stades."
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Certes satisfait des mesures prises, Payet n'a pas caché avoir eu "l'impression d'être coupable" dans cette histoire, tout comme lors du match interrompu à Nice. "Mentalement, ca a été compliqué, parce que c'était la deuxième fois. On a entendu beaucoup de choses, de personnes qui donnaient leur avis mais sans lancer la moindre idée pour régler le problème. Mais c'est un combat que je veux mener, que je vais mener personnellement, mais je vais tout faire pour rayer ces images de violence et nous, les joueurs sommes les premiers à prendre des responsabilités sur ces choses-là. Ca va au delà de la prise de parole. Je travaille avec des gens pour essayer de construire quelque chose. Si les décideurs ne savent pas prendre de décisions, nous les joueurs, on le fera", a-t-il promis. De l'autre côté, à Lyon, autant dire que le sentiment n'est pas vraiment le même.
L'arbitre ne voulait pas arrêter
Lui aussi présent en conférence de presse, l'entraîneur lyonnais Peter Bosz s'est dit "en colère" de devoir rejouer ce match. Et qui plus est à huis clos. "Ce n'était pas nécessaire d'arrêter le match, a-t-il regretté. Il y avait 60 000 personnes dans le stade, une bonne atmosphère, un fou et tout le monde s'arrête... L'arbitre ne voulait pas arrêter, Marseille refusait de reprendre, donc oui il y a de la colère."
Pour rappel, l'OL avait également écopé d'un retrait d'un point ferme, en plus de deux matches à huis clos : le premier match a été purgé dans le cadre de la mesure conservatoire (OL-Reims 1-2, du 1er décembre) et le deuxième sera donc OL-OM mardi.
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