Départ, pièges, record : le GP en six questions

La prudence est de mise concernant des stats remontant à la période 1971-1990. Hormis les abandons d'Ayrton Senna (accident) en 1986 et Nigel Mansell (moteur) en 1990, l'homme de la pole position a toujours terminé dans le Top 4. Et il a gagné 8 fois sur 14.

Sebastian Vettel. Le pilote Ferrari a fait son chrono en "ultra tendre" en Q2, et il aura donc une carte à jouer contre les Ferrari et les Mercedes chaussées en "super tendre" au coup d'envoi.

Le vent, tout d'abord, car c'est un facteur imprévisible. Ses changements de direction ont surpris quelques pilotes aux essais. Les vibreurs, ensuite : ils sont plus hauts que sur bon nombre de circuits. Les escalader, c'est risquer de décoller comme Lance Stroll (Williams) samedi et casser un fond plat, une suspension. Enfin, toute excursion sur les "runs off" bleus et plus encore rouges peut provoquer un plat sur un pneu ou même une crevaison.

Probablement un seul, selon Pirelli. "Deux peuvent également s'avérer efficaces", ajoute le manufacturier milanais, par principe.

La météo est loin d'être une science exacte mais Renault ne doute pas de la réponse à cette question : "Nous nous attendons à un temps beau et ensoleillé."

Celui des victoires sur des Grands Prix différents. Lewis Hamilton a gagné 22 épreuves différentes, comme Michael Schumacher.