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Andy Murray domine David Goffin 6-1, 7-5 et rejoint Lucas Pouille en demie
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Publié 13/05/2016 à 16:11 GMT+2
MASTERS 1000 ROME - Andy Murray a passé les quarts de finale au Foro Italico en dominant David Goffin (6-1, 7-5), vendredi après-midi. L'Ecossais, actuel N.3 mondial, affrontera le Français Lucas Pouille pour une place en finale dans la capitale italienne.
Andy Murray au Masters 1000 de Rome
Crédit: AFP
Et de trois pour Andy Murray. Présent dans le dernier carré à Monte-Carlo puis à Madrid, l'Ecossais sera à nouveau au rendez-vous du week-end à Rome, confirmant sa grande régularité sur terre battue en ce printemps 2016. Le numéro 3 mondial a pris le dessus sur David Goffin vendredi en quarts (6-1, 7-5) et affrontera pour une place en finale le jeune Français Lucas Pouille, face auquel il partira très largement favori.
Après son invraisemblable démonstration jeudi soir contre Tomas Berdych, auquel il a collé un double "bagel" (6-0, 6-0), David Goffin pouvait se sentir pousser des ailes. Le Belge a d'ailleurs démarré son quart de finale de la meilleure des manières en réussissant le break dès le premier jeu de la rencontre. Mais la réplique de Murray a été aussi brutale que cinglante : le Britannique a aligné trois breaks et six jeux pour s'imposer 6-1 dans ce premier set.
7 breaks dans le deuxième set !
Visiblement perturbé par le vent qui a soufflé en rafale, Goffin a eu du mal à jouer en rythme. Il a toutefois à nouveau réussi à prendre rapidement le service de Murray pour mener 3-1. Mais comme lors de la première manche, Murray a aussitôt réagi avec deux breaks d'affilée pour reprendre le contrôle des opérations. Un peu décousu, ce second set a d'ailleurs accouché de... sept breaks en douze jeux.
Après avoir servi une première fois pour le match à 5-4, Andy Murray a finalement conclu sur sa mise en jeu à 6-5. David Goffin, victime de ses fautes directes (28) et de sa défaillance au service (46% de points gagnés sur sa première balle, 32% sur sa seconde) n'a finalement jamais été vraiment en mesure de contrarier l'Ecossais qui, plus que jamais, semble le seul à pouvoir stopper l'hégémonie romaine de Djokovic et Nadal, vainqueurs à eux deux des 11 dernières éditions du tournoi.
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