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Etape 1 : déclarations

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ParEurosport

Publié 23/01/2004 à 09:00 GMT+1

Voici ce qu'on dit Sébastien Loeb (Citroën), Märkko Martin (Ford), Marcus Grönholm (Peugeot), Carlos Sainz (Citroën), Petter Solberg (Subaru), Freddy Loix (Peugeot) et Gilles Panizzi (Mitsubishi) sur la 1ère étape du Rallye Monte Carlo, vendredi.

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Crédit: Eurosport

Sébastien Loeb (Citroën, 1er en 1h 26 min 38.7 sec) : "J'ai préféré être prudent le matin au départ pour éviter toute erreur. Après, les conditions se sont améliorées et j'ai augmenté le rythme jusqu'à la dernière spéciale où, là, j'ai attaqué parce que je me sentais très bien. Je suis d'autant plus satisfait que je ne me suis pas trompé dans mes choix de pneus. Même si, le matin, cela a été limite..."
Carlos Sainz (Citroën, 4e à 46.5 sec): " La voiture est parfaite et quand je repense à l'année dernière, je mesure à quel point je suis désormais totalement en phase avec elle. Il y a encore de bonnes choses à faire sur ce rallye..."
Markko Märtin (Ford, 2e à 18.3 sec) : "J'ai eu des problèmes de freins dans les deux dernières spéciales. Autrement, j'aurais été plus près de Loeb. La pédale est allée au plancher et ce n'est pas bon pour ma confiance. Il reste deux jours. On ira plus au sud où il y avait moins de neige et de glace pendant les reconnaissances. Si le temps reste le même, ce rallye sera comme une épreuve asphalte."
François Duval (Ford, 11e à 1 min 0.6 sec) : "La voiture a été sensationnelle et je n'ai pas fait de fautes. J'ai aimé cette journée même si elle a été difficile. Stéphane (Prévot) a été magnifique, me ralentissant et s'assurant que j'étais prudent dans les portions très glissantes. Les étapes de samedi sont sinueuses et lentes, ce que je n'aime pas."
Marcus Grönholm (Peugeot, 3e à 18.7 sec) : "A trois kilomètres de la fin de l'ES4, la voiture a commencé a bloquer sur la 3e vitesse. Nous avons terminé car nous savions que nous étions près de la fin mais nous avons cassé le pare-brise en coupant un grand virage. Après la spéciale, nous avons découvert que nous avions la 4e et avons rejoint le service (assistance). Les mécaniciens ont changé la boîte de vitesses et résolu le pare-brise en 20 minutes, nous avons donc pu continuer. Je suis très content de la performance de la voiture mais les conditions étaient assez dures ce matin. La dernière spéciale ne s"est pas très bien passée mais je suis très satisfait du déroulement de la journée. Nous sommes en excellente position pour attaquer samedi !"
Freddy Loix (Peugeot, 8e à 2 min 59.8 sec) : "Je n'étais pas très confiant dans la première spéciale (ES2) et j'ai fait des changements de réglages qui n'ont pas marché particulièrement bien et j'ai perdu confiance. C'était mieux dans la suivante (ES3), même si ce n'était pas encore parfait. Lors des deux dernières spéciales, mon choix de gommes était bon et j"ai pu ainsi attaquer fort. Maintenant tout va bien et j"espère que ce sera pareil demain."
Corrado Provera (Peugeot Sport, directeur) : "La vraie valeur de cette voiture se confirme. C'est très encourageant. Nous avons refait le handicap qui était le nôtre en fin de saison et nous attendons la deuxième journée avec impatience."
Petter Solberg (Subaru, 5e à 1 min 52.4 sec), après l'ES2 : "C'était très difficile. Carlos (Sainz) et moi sommes partis en pneus 'neige', mais il y avait plein de neige sur les routes. Deux kilomètres après le départ, nous sommes sortis de la route sur une section glacée et j'ai tapé une clôture. Puis, à mi-chemin, à l'approche d'une épingle, le moteur a calé au freinage et nous avons perdu environ 15 secondes."
Mikko Hirvonen (Subaru, 7e à 2 min 54.8 sec), après l'ES4 : "Ça va mieux. Je prends plus confiance en la voiture et les pneus. J'apprends ce qui est possible dans différentes conditions et je garde la même vitesse. Je suis à l'aise comme ça et il n'y a pas de raisons de s'affoler."
Gilles Panizzi (Mitsubishi, 10e à 5 min 33.1 sec) : "Je suis très content de voir la fin de cette étape car nous allons faire une autre journée et des kilomètres. Ça nous donne la possibilité de travailler et faire des améliorations. OK nous avons eu des problèmes mais nous nous y attendions."
Gianluigi Galli (Mitsubishi, abandon) : "Nous avons glissé et la voiture est sortie à moitié de la route. Puis elle a glissé encore deux mètres et il était impossible de faire marche arrière. Il y avait peu de dégâts et la mécanique était OK, ce qui rend l'abandon plus décevant."
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