Olympiakos - PSG : Paris n'a vraiment aucune raison de s'en faire
ParEurosport
Mis à jour 17/09/2013 à 19:32 GMT+2
D’une victoire sans trembler de Paris en Grèce, où il a toujours gagné, à une défaite surprise, nous avons épluché les scénarios possibles pour Olympiakos-PSG.
Scénario 1 : Le PSG réussit ses débuts en Ligue des champions et gagne sans forcer en Grèce.
39% de chances
Une entrée en matière bien maîtrisée en C1, voilà ce dont rêve le PSG. Sur le papier, l’adversité ne sera pas insurmontable sur toute cette phase de poules, à commencer par mardi à l’Olympiakos. Les Parisiens semblent n’avoir rien à craindre. Surtout qu’ils restent sur huit matches sans défaite en Ligue des champions, la meilleure série en cours. Hormis un revers à Porto (0-1), ils ont parfaitement négocié le premier tour la saison passée, avec cinq victoires en six journées. Certainement motivés à l’idée de retrouver l’Europe, ils ont haussé leur niveau de jeu vendredi dernier à Bordeaux malgré une préparation de match tronquée (0-2). Un signe qui ne trompe pas sur la mobilisation de l’effectif. "Dans un premier temps, on s'attache beaucoup au résultat, c'est vrai. Mais si on peut rester sur la lancée de ce qu'on a fait vendredi à Bordeaux, ça me fera très plaisir et aux joueurs aussi", a lâché Laurent Blanc lundi en conférence de presse.
A savoir : Le PSG a gagné ses trois matches à l’extérieur contre des clubs grecs (sept buts marqués, zéro encaissé).
39% de chances
Une entrée en matière bien maîtrisée en C1, voilà ce dont rêve le PSG. Sur le papier, l’adversité ne sera pas insurmontable sur toute cette phase de poules, à commencer par mardi à l’Olympiakos. Les Parisiens semblent n’avoir rien à craindre. Surtout qu’ils restent sur huit matches sans défaite en Ligue des champions, la meilleure série en cours. Hormis un revers à Porto (0-1), ils ont parfaitement négocié le premier tour la saison passée, avec cinq victoires en six journées. Certainement motivés à l’idée de retrouver l’Europe, ils ont haussé leur niveau de jeu vendredi dernier à Bordeaux malgré une préparation de match tronquée (0-2). Un signe qui ne trompe pas sur la mobilisation de l’effectif. "Dans un premier temps, on s'attache beaucoup au résultat, c'est vrai. Mais si on peut rester sur la lancée de ce qu'on a fait vendredi à Bordeaux, ça me fera très plaisir et aux joueurs aussi", a lâché Laurent Blanc lundi en conférence de presse.
A savoir : Le PSG a gagné ses trois matches à l’extérieur contre des clubs grecs (sept buts marqués, zéro encaissé).
Scénario 2 : Paris est accroché par une valeureuse formation grecque et repart avec un nul.
27% de chances
Comme l’a reconnu Blanc lui-même devant les journalistes, le PSG "ne sait pas trop à quoi s’attendre" contre l’Olympiakos. "C'est une équipe tournée vers l'offensive en championnat mais est-ce qu’en Ligue des champions, elle le sera encore ? Je n'en sais rien." Mais si le technicien français doit avoir une certitude, c’est celle de tomber sur une équipe survoltée et prête à tout pour faire un résultat face aux stars parisiennes. Ces dernières paraissent disposer d’une certaine marge, mais attention à la suffisance qui avait parfois gangréné cette équipe la saison dernière. "On va essayer de leur faire découvrir la chaleur du Pirée, a indiqué Gaëtan Bong, l’ancien Valenciennois parti cet été vers la Grèce, sur les ondes de RMC. C’est une équipe qu’on respecte, ils ont une super équipe. Mais il faut se dire qu’il y a des groupes qui sont peut-être encore plus relevés". Pour les Grecs, empocher un point ne serait pas considéré comme une mauvaise affaire. Loin de là…
A savoir : Aucun des quinze matches de Ligue des champions de l’Olympiakos ne s’est terminé sur un match nul (sept victoires et huit défaites).
27% de chances
Comme l’a reconnu Blanc lui-même devant les journalistes, le PSG "ne sait pas trop à quoi s’attendre" contre l’Olympiakos. "C'est une équipe tournée vers l'offensive en championnat mais est-ce qu’en Ligue des champions, elle le sera encore ? Je n'en sais rien." Mais si le technicien français doit avoir une certitude, c’est celle de tomber sur une équipe survoltée et prête à tout pour faire un résultat face aux stars parisiennes. Ces dernières paraissent disposer d’une certaine marge, mais attention à la suffisance qui avait parfois gangréné cette équipe la saison dernière. "On va essayer de leur faire découvrir la chaleur du Pirée, a indiqué Gaëtan Bong, l’ancien Valenciennois parti cet été vers la Grèce, sur les ondes de RMC. C’est une équipe qu’on respecte, ils ont une super équipe. Mais il faut se dire qu’il y a des groupes qui sont peut-être encore plus relevés". Pour les Grecs, empocher un point ne serait pas considéré comme une mauvaise affaire. Loin de là…
A savoir : Aucun des quinze matches de Ligue des champions de l’Olympiakos ne s’est terminé sur un match nul (sept victoires et huit défaites).
Scénario 3 : Le PSG est surpris par l’Olympiakos et commence son parcours en C1 par une défaite.
19% de chances
Blanc le sait pour y être déjà venu avec Manchester United comme joueur puis avec Bordeaux comme entraîneur. Les Grecs savent recevoir, à leur manière. "C'est une ambiance chaude, au sens propre et figuré. On s'attend à une grosse ambiance mais le public ne fait pas tout." Il se chargera néanmoins de mettre le feu en début de rencontre et le PSG devra être solide pour résister dans la première demi-heure. Le hic, c’est la blessure d’Alex, qui oblige Blanc à revoir ses plans en défense centrale. Le coach parisien l’a concédé, Marquinhos n’est pas prêt à jouer 90 minutes. L’autre option se nomme Zoumana Camara. Dans l’absolu, aucune des deux ne présente autant de garanties que la charnière Thiago Silva-Alex. Pour compenser, Paris devra mettre le collectif au service de sa défense, ce qui n’a pas toujours été le cas par le passé. Mais pour contrer Konstantinos Mitroglou, qui a planté six buts en quatre matches officiels cette saison, il faudra au moins ça.
A savoir : Le PSG n’a pas concédé le moindre but sur ses sept rencontres face à des équipes grecques (six victoires et un nul).
Scénario 4 : Le PSG frappe un grand coup en infligeant une fessée à l’Olympiakos.
14% de chances
Les Parisiens se verraient bien marquer les esprits en Grèce. Comme ils l’avaient fait en septembre dernier, lorsqu’ils avaient atomisé le Dynamo Kiev d’entrée (4-1). Leur potentiel offensif leur avait permis de boucler la phase de poules la saison passée avec la troisième meilleure attaque des clubs qualifiés pour les huitièmes de finale de la Ligue des champions (14 buts marqués). Et il s’est encore accru au cours de l’été avec l’arrivée d’Edinson Cavani. En toute logique, l’Uruguayen devrait retrouver sa place à la droite du 4-3-3 et accompagner Zlatan Ibrahimovic et Ezequiel Lavezzi dans le trio d’attaque. Le Suédois totalise 31 buts en Ligue des champions, ce qui en fait le quatrième meilleur buteur en activité dans la compétition. Ezequiel Lavezzi a lui scoré à cinq reprises sur ses sept dernières apparitions en C1. En face, la défense de l’Olympiakos pourrait être décimée par les absences, notamment sur les côtés. Ce qui n’incite pas à l’optimisme pour les Grecs.
A savoir : Laurent Blanc a gagné 62,5% de ses matches de Ligue des champions comme entraîneur (10 sur 16). Seul Jupp Heynckes (67,6%) possède un meilleur ratio parmi les entraîneurs ayant plus de dix apparitions en L1.
Autres scénarios : 1% de chances
Par définition, le sport, et surtout le football, est une science inexacte, imprévisible, et c’est pour ça qu’on l’aime. Alors le scénario de la rencontre pourrait encore s’écrire de mille façons. Pour notre plus grand bonheur.
14% de chances
Les Parisiens se verraient bien marquer les esprits en Grèce. Comme ils l’avaient fait en septembre dernier, lorsqu’ils avaient atomisé le Dynamo Kiev d’entrée (4-1). Leur potentiel offensif leur avait permis de boucler la phase de poules la saison passée avec la troisième meilleure attaque des clubs qualifiés pour les huitièmes de finale de la Ligue des champions (14 buts marqués). Et il s’est encore accru au cours de l’été avec l’arrivée d’Edinson Cavani. En toute logique, l’Uruguayen devrait retrouver sa place à la droite du 4-3-3 et accompagner Zlatan Ibrahimovic et Ezequiel Lavezzi dans le trio d’attaque. Le Suédois totalise 31 buts en Ligue des champions, ce qui en fait le quatrième meilleur buteur en activité dans la compétition. Ezequiel Lavezzi a lui scoré à cinq reprises sur ses sept dernières apparitions en C1. En face, la défense de l’Olympiakos pourrait être décimée par les absences, notamment sur les côtés. Ce qui n’incite pas à l’optimisme pour les Grecs.
A savoir : Laurent Blanc a gagné 62,5% de ses matches de Ligue des champions comme entraîneur (10 sur 16). Seul Jupp Heynckes (67,6%) possède un meilleur ratio parmi les entraîneurs ayant plus de dix apparitions en L1.
Autres scénarios : 1% de chances
Par définition, le sport, et surtout le football, est une science inexacte, imprévisible, et c’est pour ça qu’on l’aime. Alors le scénario de la rencontre pourrait encore s’écrire de mille façons. Pour notre plus grand bonheur.
Et vous, quel scénario imaginez-vous ?
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