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Webber s'est fait éclater

Eurosport
ParEurosport

Mis à jour 15/03/2012 à 07:54 GMT+1

Féroces, amusantes, décalées, improbables ou tout simplement réalistes, voici les meilleures déclarations de pré-saison. De l'aveu de Mark Webber (Red Bull) à la galère de Ferrari, en passant par le retour désintéressé de Kimi Räikkönen (Lotus)…

2012 Tests Montmelo Red Bull Webber

Crédit: AFP

Helmut Marko, conseiller sportif chez Red Bull, à la Gazzetta dello Sport : "Alguersuari et Buemi ont eu trois années, et après ce délai il est possible d'évaluer le développement d'un pilote. Les deux sont valables pour courir en Grand Prix, mais pour nous ce n'est pas assez : nous avons besoins de gagneurs."
Adrian Sutil, ex-Force India, lâché en plein démêlé judicaire par son grand pote Lewis Hamilton, au quotidien Bild : "Lewis est un lâche, je ne veux pas être ami avec quelqu'un comme cela. En ce qui me concerne, ce n'est pas un homme. Même son père m'a envoyé un message et m'a souhaité bonne chance pour mon procès (...) Je n'ai rien reçu de Lewis, il a changé son numéro de téléphone et je ne peux plus le joindre."
Adrian Newey répond aux appels du pied de Ferrari : "Aussi longtemps que je prendrai du plaisir et que les gens voudront travailler avec moi, je continuerai. Je ne me vois nulle part ailleurs. Partir maintenant pour une autre équipe reviendrait un peu à abandonner mes enfants."
Jarno Trulli, ex-Lotus : "Depuis trop d'années, j'ai dû souffrir et ramer."
Norbert Haug : "Nous n'avons que deux années de F1 derrière nous. Ça peut nous prendre quatre-cinq ans pour devenir une équipe gagnante (du Mondial)."
Stirling Moss, à Reuters : "Vettel est remarquable. Il a eu la meilleure voiture, ce qui est équitable car le meilleur pilote obtient normalement la meilleure voiture. Fangio est arrivé et a pris ce qu'il voulait, et nous avons eu ce qui restait. Vettel est un sacré champion du monde. J'ai vu pas mal de gens dans cette situation, qui ne rendaient pas autant qu'ils recevaient. Lui, si."
Jenson Button, bien plus content de ses premiers tours de roues avec la McLaren MP4-27 qu'avec le modèle précédent : "Ah, les roues avant sont devant, et les roues arrière derrière. Quand je tourne à droite, elle va à droite, quand je tourne à gauche, elle va à gauche. Un truc qui n'arrivait pas l'an passé…"
Kimi Räikkönen (Lotus), à Autosport : "On en veut probablement une certaine somme d'argent, mais je ne fais pas ça pour ça. La course est l'objet principal (du retour). Il y a toujours eu des commentaires à propos de la motivation, mais les gens qui écrivent ne me connaissent même pas. Il y a toujours des polémiques et je me fiche que des gens veulent en écrire. Qu'y puis-je ?"
Michael Schumacher (Mercedes) : "Je ne pense pas que nous puissions décliner une voiture titrable à partir de celle qui a fini la précédente saison."
Lewis Hamilton, à Jerez : "L'an dernier, il nous suffisait de faire 10 ou 15 tours pour casser un truc. Là, j'en fais 80 sans problème. C'est un énorme progrès."
Ross Brawn, au premier jour des essais à Montmelo : "De toutes les solutions adoptées par les équipes, c'est le choix des échappements de Ferrari et de McLaren me qui me laissele plus perplexe."
Sebastian Vettel, au premier jour des essais à Montmelo : "Ferrari est un peu un secret à ce stade, personne ne sait s'ils sont vraiment bons ou vraiment mauvais."
Mark Webber, au Sunday Age : "Je me suis bien fait éclater l'année dernière."
Jaime Alguersuari : "J'ai été confirmé verbalement au GP du Brésil. Quand Red Bull Racing m'a dit, le 13 décembre, que je ne faisais plus partie de la famille, je leur ai dit que je n'allais pas les juger, que je ne me sentais pas non plus comme une victime et que ce n'était pas un drame. Mais laissez-moi dire juste une chose : ils m'ont blessé, et plus que ça, ça n'était pas nécessaire."
Jean-Eric Vergne, à Auto-Hebdo : "Le milieu du sport automobile n'est pas facile ; celui de la F1 sans pitié. Vous méritez d'y être et vous n'y serez jamais, vous n'y avez pas votre place et vous y êtes, vous y arrivez péniblement et vous n'y restez pas malgré tous vos efforts, etc… Il n'y a aucune règle."
Lewis Hamilton, à la BBC : "Cette année, je ne dirai à personne : 'Je ne t'ai pas vu dans mes rétroviseurs' ."
Stefano Domenicali, directeur d'équipe de Ferrari, à La Gazzetta dello Sport : "Espérons que nous puissions faire comme l'Italie à la Coupe du monde 1982 : des matches de préparation fades, trois nuls au 1er tour et puis le titre."
Martin Brundle, à Skysports : "La Ferrari n'est pas pire que la McLaren de l'année dernière, mais ils ont des soucis c'est indéniable."
Jean-Eric Vergne, à eurosport.com : "Vettel, dans sa première année, a eu beaucoup d'accrochages, surtout sur les premiers Grands Prix. Au bout d'un moment, ce genre d'erreurs ne se reproduit plus car on connait la limite. Mais il faut toujours un peu passer la limite pour la connaitre.
Pat Fry, directeur technique de Ferrari : "Je suis déçu par notre niveau de performance actuel. Je pense que nous avons pas mal de travail devant nous… Dans les premières courses, nous souffrions car nous ne sommes pas à 100%"
Gérard Lopez, président de Lotus F1 Team : "Je pense toujours que Kubica fait partie de cette petite catégorie de pilotes capable de gagner avec une voiture qui n'est pas la meilleure. C'est une énorme perte."
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